La seule évocation de l’île Maurice suffit à vous faire rêver à de superbes plages de sable blanc et une mer turquoise. C’est en effet ce qui vous attend sur cette île de l’Océan Indien, mais pas seulement. La nature mauricienne s’avère riche et généreuse, elle ne manquera pas de vous surprendre lors de vos vacances à l’Ile Maurice.
Les lagons mauriciens
Commençons par les images de carte postale. On vient à Maurice pour ses sublimes bords de mer, comme le lagon de Trou d’Eau Douce, le plus grand de l’île, au cœur duquel se trouve la paradisiaque île aux Cerfs. Vous y trouverez d’immenses plages aux eaux chaudes et cristallines, bordées de palmiers et de filaos, un rêve devenu réalité surtout lors d’une lune de miel à l’Ile Maurice. D’autres lagons parsèment l’île, comme du côté du Trou aux Biches ou de la péninsule du Morne.
Une excursion en canoë sera une façon plus sportive de découvrir ces lagons. Vous pourrez même naviguer à travers la mangrove, cette forêt aquatique à la richesse exceptionnelle.
Maurice, une île au relief montagneux
L’île Maurice est une terre d’origine volcanique qui présente un relief accidenté. La montagne du Pouce, culminant à 812 m, est réputée pour ses parcours de randonnée. La vue depuis son sommet est l’une des plus belles, on y aperçoit la côte nord et ses îles, tout comme le centre de Maurice et la ville de Port-Louis, la capitale.
Dans le parc national des Gorges de Rivière Noire, la forêt tropicale abrite des centaines d’espèces naturelles, de plantes endémiques et une faune préservée, dont plusieurs espèces d’oiseaux rares. Il y est possible d’y faire de belles balades, que vous soyez un marcheur aguerri ou débutant.
Une flore tropicale préservée de l’île Maurice
Non loin, une visite de Chamarel ne manquera pas de vous éblouir avec son impressionnante cascade au milieu d’une végétation luxuriante. Et surtout sa terre aux 7 couleurs, un dégradé étonnant allant de l’ocre, au marron ou au rouge.
Enfin, pour mieux connaître la richesse de la flore mauricienne, rendez-vous au jardin de Pamplemousses, fondé au XVIIIe siècle par le Français Pierre Poivre. Palmiers, camphriers, nénuphars géants, baobabs, arbres à pain, muscadiers… sont autant d’espèces préservées dans les 25 hectares de ce paradis végétal.